Pour quels problèmes prendre rendez-vous?
Douleurs, maladie, fatigue, gestion des émotions, ... Les bonnes raisons pour une consultation sont nombreux.
Le travail clinique articule des protocoles à partir de l'identification de troubles communs. Il est par exemple fréquent de venir pour les motifs tels que :
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L’anxiété, les tensions nerveuses dues au stress
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Les troubles du sommeil (endormissement, insomnie, ...) et de la concentration
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Les problèmes de transit, d'appétit, de digestion
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Le mal de dos (cervicalgie, torticolis, lombalgie, sciatique, cruralgie…)
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Les tensions myofasciales (crampes, tendinites, névralgies, ...)
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Les douleurs articulaires (arthrose, arthrite, gonalgie, …)
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Les maux de tête, les migraines, les vertiges, ...
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Les problèmes d’appétit et de transit (inappétence, boulimie, anorexie, constipation, diarrhée, digestion difficile, nausées, …)
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Les troubles cardiologiques et vasomoteurs (palpitations, hypertension, précordialgies, …)
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Les affections psychosomatiques (mémoire, concentration, dépression, …)
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Les troubles respiratoires (toux, asthme, bronchite, sinusite, …)
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Les problèmes menstruels et gynécologiques (troubles du cycle, aménorrhée, infections, cystite, ...)
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L'accompagnement de la grossesse (après trois mois) et après l'accouchement
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Les pathologies lourdes et les maladies chroniques sont à la portée de notre pratique, à condition que l’information soit claire : nous aidons le corps en travaillant sur les flux et les structures par des méthodes non invasives. Cette pratique optimise le « terrain », produit des résultats et améliore l’état du receveur en optimisant la réponse de l’organisme. Mais elle ne remplace en aucun cas un traitement médical, dès lors que les seules ressources dont intrinsèques peuvent ne pas suffire dans certains cas.
Quelles sont les contre-indications à la pratique?
Les contre-indications sont rares. Un conseil médical peut-être utile pour orienter la pratique.
Lorsqu'elle est le fait d'un praticien compétent qui sait circonscrire et adapter sa technique à l'état du patient, les contre-indications formelles à la pratique sont rares. Les tableaux d’urgence chirurgicale ou médicale ainsi que toute pathologie aggravée par la pression (fractures, anévrismes, tumeurs, etc. …) doivent cependant inciter à consulter un médecin avant toute autre chose, puis être clairement mentionnées lors de la visite.
Dans tous les cas, nous vous conseillons de demander l'avis de votre médecin avant d'envisager un accompagnement en pratiques de santé non-conventionnelles.
Comment choisir son praticien?
Il existe plusieurs organismes fédérant des professionnels en pratiques de santé non conventionnelles.
Le SPS référence les Spécialistes en Shiatsu D.O au titre RNCP.
Référencement, formation et bouche à oreille: 3 critères pour faire le bon choix.
En France, il existe depuis 2015 un titre professionnel officiel, qui atteste de la formation de votre praticien. Cependant ce titre n'est pas obligatoire pour exercer professionnellement (!) Tous les praticiens de Shiatsu n'ont donc pas le même niveau de qualification. Or, bien qu'il n'y ait pas d’effet secondaire à la technique lorsque celle-ci est correctement exécutée, le domaine d’intervention d'un praticien doit néanmoins être circonscrit à son niveau de qualification. Par exemple une personne seulement formée à des protocoles génériques peut proposer des séances de confort standard (on parle alors de Shiatsu "bien-être" ou Shiatsu de "confort", de "relaxation", ou encore de "Shiatsu familial"). Par contre elle n’a pas la compétence pour vous apporter une réponse à visée correctrice. Un clinicien spécialisé saura quant à lui mener la phase de bilan préalable, procéder aux tests de détection et d’exclusion, identifier un déséquilibre, élaborer une stratégie, adapter sa technique au cas particulier qui se présente à lui. Enfin, il saura évaluer les résultats obtenus et vous orienter vers un autre spécialiste si besoin. La première indication est donc de bien se renseigner sur le niveau de compétence du praticien que vous consultez:
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il existe des annuaires de référencement, auxquels vous pouvez vous référer : Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS), fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), union française des praticiens de shiatsu thérapeutique (UFPST), ... ;
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vous pouvez également vous renseigner sur la formation de votre praticien. Le cursus n'étant pas normalisé, les parcours suivis peuvent être très différents d'un praticien à l'autre. L'absence ou la brièveté des études et de l'expérience clinique doivent alerter ;
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le bouche à oreille est enfin un très bon moyen d'évaluation: si votre praticien est efficace, les résultats obtenus auprès d'autres personnes venues le consulter plaident pour lui.
Prévention et visite d'entretien: la clé du succès
La séance d'entretien: un bon moyen de garder la forme, c'est de ne pas la perdre!
L’accompagnement en Shiatsu est également idéal dans le cadre de la prévention, de la préparation et de la récupération en sortie d'épreuve (compétition sportive, opération, accouchement, ...). En effet, bien qu’elles puissent agir dans tous les cas, les méthodes traditionnelles sont reconnues pour leur rôle préventif. Dans celles-ci, le corps et la santé sont ainsi souvent comparés à un château et la maladie à un ennemi qui tenterait de les envahir. Les agresseurs pénétrant d’abord par les digues les plus fragiles, la stratégie victorieuse est celle qui consolide les barrages au bon endroit: être en bonne santé, c’est d’abord ne pas tomber malade. Et comme le dit l'adage : « Ce n’est pas lorsque la guerre est déclarée qu’il faut songer à forger les armes »: la visite régulière, en permettant d’identifier les loges faibles et en procédant au travail de consolidation nécessaire, préserve votre état et renforce l'organisme avant même que la maladie n’y fasse son lit.